Investissements au Québec : Montréal devient l’épicentre mondial dans la technologie et l’innovation

Plusieurs entreprises du domaine de la technologie et de l’innovation choisissent de s’établir désormais à Montréal.

« Pour nous, Montréal était la porte d’entrée sur le continent américain, qui représente un marché colossal. Le fait que ce soit une ville francophone, à mi-chemin entre la culture européenne et américaine, implantée en Amérique du Nord, nous a beaucoup attirés », reconnaît Cédric Combey, vice-président ventes d’OVH.com., une firme française fournisseuse d’infrastructures pour stocker et gérer les données numériques.

 

La ville de Montréal compte aujourd’hui près de 5 000 entreprises spécialisées en technologie de l’information. Les raisons de ce choix d’installation sont nombreuses :

Selon Hydro Québec, le prix de l’électricité au Québec est parmi les moins élevés en Amérique du Nord, sans oublier que  des tarifs préférentiels sont appliqués systématiquement aux entreprises grandes consommatrices d’électricité avec une réduction supplémentaire de 20% dans certains cas.

 

En dehors de ces coûts d’énergie assez réduits à Montréal, il faudra noter également dans cette ville, le puissant bassin de main d’œuvre qualifié offert aux entreprises à travers près de 3 600 diplômés formés par an dans les divers programmes professionnels, collégiaux et universitaire.

Des incitatifs fiscaux constatés dans la ville contribuent aussi à diminuer les coûts d’exploitation globaux dans le Grand Montréal.

Les atouts de Montréal sontt nombreux et contribuent à faire d’elle un pôle mondial dans ledit domaine : cinquième au monde dans l’industrie des jeux vidéo, quatrième pour les effets visuels, une position mondiale bien enviable dans les sciences de la vie et l’aérospatiale.

 

L’organisme  Montréal International spécialisé dans la rétention des entreprises étrangères,  a enregistré en 2016 des investissements record : 1,35 G$ contre 900 M$ annuels généralement ces dernières années, tous secteurs confondus.

« À lui seul, le secteur des technologies de l’information et de la communication représente la moitié de la valeur de ces investissements », indique Christian Bernard, vice-président stratégie et communication de l’organisme.

 

Source : AC news