Marché du travail
Menace d’une vaste pénurie de main-d’œuvre dans certains secteurs en 2013.
L’Institut de la Statistique du Québec a été bien clair dans son annonce. En 2013, la population en âge de travailler commencera à régresser fortement au Québec.
Pour l’institut, cette situation causera une importante pénurie de main-d’œuvre au Québec dans plusieurs secteurs économiques comme les technologies de l’information, la construction, le transport et la santé.
« Près de 1 400 000 postes devront être pourvus d’ici 2019, selon les plus récentes estimations d’Emploi-Québec. Ce qui veut dire que les jeunes diplômés qui arriveront sur le marché du travail à cette date devraient avoir l’embarras du choix », fait remarquer Florent Francoeur, Président-directeur général de l’Ordre des Conseillers en Ressources Humaines Agréés.
Il explique que d’ici 2019, 70% des nouveaux emplois devront exiger une formation post-secondaire collégiale ou universitaire, notamment des métiers liés aux sciences comptables, à la santé, aux services sociaux et aux sciences appliquées.
Florent Francoeur recommande surtout aux jeunes d’obtenir un diplôme qui mène à un métier.
« Il faut un minimum de bagage pour pouvoir fonctionner dans des métiers qui sont de plus en plus automatisés ou qui demandent des habiletés de communication et de gestion », a-t-il confié.
Aujourd’hui au Québec, plusieurs entreprises comptent miser sur la main-d’œuvre qualifiée et tenteront également de la conserver le plus longtemps possible en leur proposant des projets stimulants et des défis à relever.
« Les jeunes vont arriver dans un contexte extraordinaire, comme on s’en a pas vu depuis plusieurs années… il va y avoir du job », rassure Jean-François Thuot, Directeur général du Conseil Interprofessionnel du Québec.
Nos bureaux
- Burkina Faso
- CANADA
- BENIN
- CAMEROUN - YAOUNDÉ
- CAMEROUN - DOUALA
- CÔTE D'IVOIRE-Abidjan
- SENEGAL
- TOGO
- TUNISIE
Newsletter
Abonnez-vous à notre newsletter pour être les premiers informés de nos nouveautés.
EnvoyerSondage éclair
Si votre dossier présente + de chances et de rapidité pour le fédéral (installation hors Québec) à travers le programme de l’Entrée Express mais est aussi positif pour le Québec avec une procédure environ un an plus longue, quelle option choisiriez-vous ?
Répondre