Imbroglio administratif

Un Portugais expulsé du Canada après 32 ans.

La direction d’ACCÈS CANADA a tenu à communiquer cette nouvelle. En effet, au Canada, les règles ont la particularité d’être claires et en même temps rigides. Chaque personne sait à quoi s’en tenir avec cette approche mais cela à quelques fois des conséquences malheureuses.

Nous souhaitions vous faire remarquer cela car nous soulignons très souvent l’importance de cette approche à nos clients notamment à ceux qui attendent avant de déclarer un changement matrimonial ou un enfant.

Par exemple, une personne qui arrive au Canada sans avoir déclarer la naissance d’un nouveau né pourrait entrer au Canada mais le jour où cela se saura, lors par exemple lors du parrainage de l’enfant, le candidat qui a agit ainsi pourrait se voir renvoyer du Canada même des décennies plus tard.

C’est la même chose en matière d’immigration concernant la préparation des dossiers. Ou bien tout est clair, ou bien le dossier est rejeté. Le volume de demandes de résidence permanente reçues permet aux autorités gouvernementales de rejeter facilement pour diminuer les énormes inventaires.

Lorsque que vous retenez les services d’ACCÈS CANADA, ne prenez pas nos conseils à la légère. Nous sommes là pour votre bien et pour vous guider à travers une administration et des lois que nous connaissons très bien.

À bientôt chers lectrices, chers lecteurs.

L’ÉQUIPE ACCÈS CANADA

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Après avoir vécu 32 ans en territoire canadien, un portugais est sur le point d’être expulsé à cause d’une négligence administrative portée à sa charge. Il a été accusé d’avoir abusé des lois d’immigration canadienne. Cet incident aurait pu être évité s’il avait cru devoir se faire suivre par un consultant agréé en immigration comme Accès Canada.

Un reportage de Normand Grondin :

Même s'il vit au Québec depuis 32 ans, un résident de la Montérégie d'origine portugaise sera expulsé du Canada d'ici quelques semaines en raison d'un imbroglio administratif.

Jose Pereira habite Saint-Roch-de-Richelieu, est marié à une Québécoise, a quatre enfants et des petits-enfants. Et jusqu'à tout récemment, il avait une entreprise. Contraint à l'expulsion, sa maison a été mise en vente et il se prépare à plier bagage.

« J'ai été 26 ans au Portugal, ça fait 32 ans que je suis ici, dans ce pays, et on me met à la porte comme un criminel, ça ne fait pas de sens. » — Jose Pereira

Le Canada interdit même à Jose Pereira de revenir au pays. Sa femme, Cérès Bibeau, se dit dévastée. « On s'en va vivre au Portugal. Moi, mes enfants sont ici, mes petits-enfants sont ici, c'est un gros, gros, gros choc », confie-t-elle.

Imbroglio administratif :

M. Pereira n'a commis aucun crime. Il s'est simplement rendu au Portugal en 2009 pour rendre visite à son père malade, alors que sa carte de résident permanent était expirée. Durant son séjour, il a entrepris des démarches à Montréal et à l'ambassade du Canada à Paris pour régler sa situation. Puis, il est rentré au Québec, où l'attendait sa nouvelle carte de résident permanent.

Tout était en ordre, croyait-il, mais ce n'était pas le cas. L'ambassade exigeait plus de preuves de sa résidence au Canada et il n'a pas répondu à leurs demandes.

« Le problème, c'est que je n'ai pas fait appel alors que je ne savais même pas que je devais faire appel, parce que j'ai reçu la lettre au Portugal », explique-t-il.

Finalement, l'ambassade a annulé sa résidence permanente et le Canada a ordonné son expulsion pour « utilisation abusive de nos lois d'immigration ». Ironiquement, Jose Pereira l'a appris deux ans plus tard, lorsqu'il s'est présenté pour obtenir sa citoyenneté canadienne.

« C'est ignoble, ce n'est pas humain, ce n'est vraiment pas humain. » — Jose Pereira

Selon l'avocat Stéphane Handfield, M. Pereira a fait preuve d'un peu de négligence, mais il n'a certainement pas abusé des lois de l'immigration.

« Ce n'est pas un individu qui a commis des infractions criminelles, il se conformait à la loi. Malheureusement, il a été mis dans une situation contradictoire par les décisions qui ont été rendues, mais on est loin d'être dans une situation d'un individu qui a contrevenu et qui a abusé du système, loin de là », estime-t-il.

Source : Radio-Canada

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