Profession et métiers en demande : Vérificateurs/vérificatrices et comptables.

Un baccalauréat en comptabilité, en sciences comptables ou en administration des affaires est exigé. Avec l’entrée en vigueur en 2012 de la nouvelle loi portant sur la profession comptable au Québec, les trois ordres professionnels qui régissaient l’exercice de cette profession ont été unifiés pour former l’Ordre des comptables professionnels agréés (CPA) du Québec. Pendant la période de transition de dix ans, le titre de CPA sera ainsi suivi des titres des trois ordres comptables existant avant l’unification : CPA, CA pour les comptables agréés, CPA, CMA pour les comptables en management accrédités et CPA, CGA pour les comptables généraux accrédités. L’adhésion à l’Ordre des comptables professionnels agréés est obligatoire pour exercer les tâches liées à la vérification et exercer la comptabilité publique. La connaissance des règles comptables, des principaux logiciels comptables (logiciels de comptabilité, d’infogérance et de gestion intégrée des entreprises) et des chiffriers électroniques est requise. La capacité de vulgarisation et une habileté à anticiper les changements économiques sont aussi recherchées par les employeurs. Des connaissances en comptabilité internationale, en fiscalité et en gestion sont un atout. L’habileté à établir de bonnes relations d’affaires est une qualité appréciée. Le bilinguisme est requis.

 

ORIGINE DE LA SITUATION

Les comptables sont présents dans tous les secteurs de l’activité économique. La création d’emplois, conjuguée à la nécessité de pourvoir les postes devenus vacants à la suite de départs à la retraite, engendre des possibilités d’emploi dans cette profession. La demande est favorisée par le resserrement des contrôles auprès des entreprises et par un renforcement de la réglementation. Le domaine de la comptabilité tend à se diversifier et à se spécialiser. Les vérificateurs et vérificatrices comptables sont maintenant perçus comme des professionnels et professionnelles du monde des affaires, d’où la tendance à les consulter davantage.

 

Source : Emploi-Québec, Montérégie, hiver 2015

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