De l’emploi dans les PME en 2015.
L’année 2015 s’annonce positive pour les PME du Québec, qui sont nombreuses à avoir l’intention d’augmenter leurs effectifs.
Selon un sondage réalisé par la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI), 58 % des chefs de PME prévoient embaucher au cours des 12 prochains mois.
30 % des répondants voudront recruter du personnel en construction ou en production, 16 % seront à la recherche de professionnels de la vente, 15 % chercheront du personnel administratif ou technique, et 5 % tenteront de pourvoir des postes de cadres et de gestionnaires.
Les deux tiers des chefs de PME prévoient hausser le salaire de leurs employés en 2015. L’augmentation moyenne sera de 1,3 %, ce qui est inférieur à la moyenne de 2,8 % prévue par l’ensemble des employeurs québécois.
Le salaire horaire moyen dans les PME québécoises est de 18 $, soit peu moins que la moyenne pour l’ensemble des travailleurs, qui est d’environ 23 $. Tout de même, les PME paient en moyenne 70 % de plus que le salaire minimum.
Des conditions intéressantes
Ça ne veut pas dire que les PME n’offrent pas des conditions intéressantes. Selon le sondage, 87 % d’entre elles proposent des mesures de conciliation travail-vie personnelle, dont les plus populaires sont la flexibilité dans le choix des vacances (63 %), des congés non rémunérés pour obligations personnelles (49 %) et la flexibilité dans les horaires de travail (43 %).
Au chapitre des avantages sociaux, 39 % des PME offrent de l’assurance pour frais médicaux et l’assurance médicaments, 37 % de l’assurance invalidité et 30 % des bonis à la performance.
Les PME procurent environ trois emplois sur cinq au Québec.
Source : Jobboom
Nos bureaux
- Burkina Faso
- CANADA
- BENIN
- CAMEROUN - YAOUNDÉ
- CAMEROUN - DOUALA
- CÔTE D'IVOIRE-Abidjan
- SENEGAL
- TOGO
- TUNISIE
Newsletter
Abonnez-vous à notre newsletter pour être les premiers informés de nos nouveautés.
EnvoyerSondage éclair
Si votre dossier présente + de chances et de rapidité pour le fédéral (installation hors Québec) à travers le programme de l’Entrée Express mais est aussi positif pour le Québec avec une procédure environ un an plus longue, quelle option choisiriez-vous ?
Répondre