Vague d'embauches au chantier naval d'Halifax.
Le chantier naval d'Irving à Halifax est en pleine campagne d'embauche pour la construction du premier navire du programme de remplacement des forces canadiennes qui doit commencer en septembre.
Les tests pour la fabrication du premier patrouilleur de l'arctique commencent sous peu et déjà, les travailleurs se familiarisent avec la nouvelle technologie.
Après quelques années de construction et de rénovation, le chantier naval d'Irving est prêt pour commencer sa mission: rajeunir la flotte de navires de la Marine canadienne.
L'entreprise prépare une grande foire à l'emploi dans deux semaines pour trouver les tuyauteurs, les soudeurs, les monteurs de charpentes métalliques et les constructeurs de bateaux dont elle a besoin pour le projet. En 2017 à mi-chemin du contrat des patrouilleurs de l'arctique le chantier aura besoin de près de 1000 de ces travailleurs.
Mais comme ça fait déjà 20 ans que le plus récent navire de la marine canadienne a été construit, les méthodes de travail ont bien changé.
Même les travailleurs d'expérience ont besoin de rafraichir leurs connaissances et c'est ici au collège communautaire Akerley à Dartmouth qu'ils le font.
« Ils doivent apprendre à être très efficaces pour que le projet soit terminé à temps et en respectant le budget », affirme le directeur du commerce et de la technologie au collège communautaire de Dartmouth, Jim Muzzerall.
Les navires sont construits en bloc et la première étape, en septembre, sera de couper les morceaux d'acier dans ce nouveau local à la fine pointe de la technologie qui a couté 28 millions de dollars. Des machinistes ont même dû se rendre aux Pays-Bas pour apprendre à manœuvrer les scies.
« Elles sont plus grosses que ce à quoi je suis habitué et parmi les premières de la sorte au Canada », soutient Tracy Canning.
Une fois l'acier découpé, les morceaux vont se faire assembler dans les différentes stations de l'endroit avant d'être mis ensemble pour former un navire. Le gouvernement canadien s'est engagé à acheter cinq ou peut-être six navires de patrouille extracôtiers. Il s'agit d'un projet de 3,5 milliards de dollars.
Et puis ce sera la construction des navires de combat, qui doivent créer le double des emplois au chantier.
Source : Radio-Canada
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